Vous le savez peut-être déjà, le film The LEGO Ninjago Movie arrive avec son propre alphabet créé pour l'occasion, On retrouve donc logiquement cette syntaxe dans les produits dérivés du film et notamment dans les sets 70620 Ninjago City et 70617 Temple of The Ultimate Ultimate Weapon.

Histoire de vous simplifier la vie et de vous occuper pendant quelques heures, je vous ai compilé proprement l'alphabet en question en me basant sur le traducteur mis en ligne par LEGO.

Pas sûr que cet alphabet devienne le nouveau langage des cours d'écoles à la rentrée, mais c'est fun.

Vous pourrez ainsi déchiffrer tranquillement toutes les enseignes et autres panneaux que vous trouverez dans vos sets préférés. Attention, certains symboles sont parfois très stylisés sur les différents stickers ce qui les rend un peu difficiles à interpréter.

Avis à tous ceux qui sont impatients de se procurer le set LEGO IDEAS 21310 Old Fishing Store basé sur le projet de Robert Bontenbal aka RobenAnne : Le set sera disponible en avant-première au LEGO Store des Halles à Paris dès le 25 août prochain.

Pour l'occasion, le créateur du projet sera sur place et vous pourrez faire dédicacer votre exemplaire de 13h00 à 16h00. Il vous en coûtera 159.99 €, soit le prix public du set et quelques minutes d'attente dans la file prévue à cet effet.

Le set sera ensuite disponible dès le 1er septembre prochain sur le LEGO Shop et dans les autres LEGO Stores.

Ci-dessous, une comparaison entre la version initiale du projet proposé par RobenAnne (env. 2160 pièces) et la version remaniée par le designer LEGO Adam Grabowski (2049 pièces).

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Parce qu'il faut bien quelques méchants pour tenir tête à cette bande de jeunes ninjas prétentieux avec leurs robots en tous genres, on parle aujourd'hui du set The LEGO Ninjago Movie 70609 Manta Ray Bomber, avec ses 341 pièces, ses 4 minifigs, et son prix public de 29.99 €.

Si vous avez attentivement regardé le trailer du film, vous savez déjà que ce bombardier-hydravion à tête de raie avec un Zodiac sur le dos participe activement à l'invasion de Ninjago City. C'est l'engin volant de base qui vient en surnombre assombrir le ciel de la ville.

Premier constat, la chose ressemble effectivement à une raie manta. Les designers ont fait le job, et que ce soit de face ou de dessus, on retrouve les courbes et l'expression du batoïde que tout le monde connait.

On ajoute à cela une couleur qui lui donne un aspect militaire sans trop avoir l'air d'y toucher, quelques stickers avec numéros et voilà de quoi créer une armée de poissons volants mécanisés.

La présence du Zodiac sur le dos de l'engin m'a semblé incongrue au premier abord. Mais c'était sans compter sur le fait que ces infâmes hommes-requins peuvent ainsi partir à la chasse au gentil civil effrayé dans le port de Ninjago City et les dégommer avec le canon embarqué après avoir détruit la moitié de la ville en larguant leurs bombes colorées. Un bon point pour la jouabilité.

L'engin me semble ici fidèle à la version du film et c'est une bonne chose. Pas de rétrécissement abusif ou de simplification massive. Les fusils à ressort sont vraiment bien intégrés dans la bouche de ce bombardier et l'engin se manipule facilement.

Du côté des minifigs, on obtient  le jeune Ninja Cole, le gentil civil effrayé Shen-Li avec sa palanche et ses deux seaux, et deux méchants : un Great White et un Shark Army Gunner. C'est suffisant pour s'amuser.

Comme d'habitude, dommage pour l'écart de teinte entre les bras et le haut du torse chez Cole. Jaune sur fond noir, ça fait jaune moins jaune...

Ceux qui voudront se constituer une flotte de raies volantes auront quelques exemplaires de Cole à revendre pour amortir l'investissement. Les autres minifigs pourront toujours servir pour créer une armée conséquente. Concernant Shen-Li, il paraît qu'on a tous un sosie quelque part...

Il n'y a pas ici de quoi philosopher durant des heures mais ce set fait le job. Je dis donc oui pour cette boite, c'est surtout un bon moyen d'obtenir à un tarif raisonnable de quoi venir titiller les mechs de la gamme The LEGO Ninjago Movie en les arrosant de bombinettes déguisées en abeilles avant d'aller zigzaguer en Zodiac dans les canaux de Ninjago City. Tout un programme.

Note : On fait comme d'habitude, vous avez jusqu'au 19 août 2017 pour vous manifester dans les commentaires.

Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous.
Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.

C'est un set dont nous allons beaucoup reparler dans les semaines à venir, avec notamment un test maison (et un heureux au bout du compte...) : la référence 70620 Ninjago City est LE diorama indispensable pour mettre en scène tous les sets basés sur le film The LEGO Ninjago Movie.

En attendant de regarder plus en détail le contenu de cette grosse boite de 4867 pièces qui sera disponible dès le 1er septembre prochain sur le LEGO Shop au prix public de 299.99 €, vous pouvez toujours écouter ce que les designers du set ont à vous dire dans la vidéo ci-dessous.

On reparlera en temps et en heure de ce bâtiment modulaire qui rassemble de nombreuses ambiances différentes, quelques clins d'oeil aux fans de LEGO les plus assidus et 16 figurines. Playset ultime pour jeune fan ou prétexte pour extorquer 300 € aux amateurs de modulars et de références LEGO en tous genres ? Ou les deux ? Je vous dirai ce que j'en pense prochainement.

Cette info ne va pas changer votre quotidien de consommateur de produits LEGO mais c'est un changement au plus haut sommet de la hiérarchie LEGO et chacun y verra ce qu'il voudra bien y voir.

Bali Padda, actuel CEO du groupe LEGO installé en janvier 2017 suite au départ de Jørgen Vig Knudstorp, sera remplacé dès le 1er octobre prochain par Niels B. Christiansen, ancien CEO de GN Netcom puis de Danfoss, un grand groupe industriel danois.

Bali ira rejoindre Jørgen au sein du LEGO Brand Group, une entité créée récemment qui a pour objectif de mieux cerner "les éventuelles opportunités qui ne manqueront pas de se créer dans un proche avenir autour de la marque LEGO". Il aura passé neuf mois à la tête du groupe LEGO.

Certains y auront vu une phase de transition via la promotion aux plus hautes fonctions d'un élément interne de la société dans l'attente du recrutement de celui qui pourra donner un second souffle à la marque. D'autres y verront peut-être une mise au placard expéditive après un premier semestre qui n'aura pas donné les résultats escomptés.

La stagnation des résultats du groupe sur le territoire américain en 2016 malgré une augmentation significative des dépenses marketing sur cette zone avait été soulignée par le CEO interimaire Bali Padda dès son arrivée : "...Aux États-Unis, les ventes clients ont stagné par rapport à l’année précédente, malgré une forte augmentation des dépenses marketing au deuxième trimestre. Nous continuerons à travailler en étroite collaboration avec nos partenaires commerciaux en vue d'identifier de nouvelles opportunités d'innovation, de croissance et d’engagement des enfants sur ce marché stratégique...".

LEGO doit logiquement travailler d'arrache-pied sur une relance des ventes sur cette zone géographique et le recrutement d'un PDG qui a fait ses preuves ailleurs pour remplacer un promu issu du sérail peut éventuellement aller dans ce sens.

Voilà, c'est tout.

(Voir le communiqué officiel de LEGO)