On fait aujourd'hui très rapidement le tour du contenu du set LEGO Ideas 21343 Viking Village, une boite de 2103 pièces actuellement en précommande sur la boutique officielle en ligne au prix public de 139.99 € avec une disponibilité prévue pour le 1er octobre 2023.

Il s'agit donc ici d'assembler une portion de village viking regroupant une forge, la longère du chef des lieux et une tour de guet. Ce n'est pas encore un vrai village mais c'est un bon début pour tous ceux qui voudraient ensuite étoffer les lieux avec quelques bâtisses réutilisant les différentes techniques proposées. On peut d'ailleurs presque en conclure qu'il s'agit d'un Modular thématique et (vaguement) historique avec des intérieurs correctement aménagés et facilement accessibles et une finition globale des constructions très acceptable.

Le diorama se divise en trois sections distinctes mais LEGO ne fournit qu'un seul livret d'instructions. Pour assembler le set à plusieurs, il faudra donc se tourner vers la version numérique de ces instructions disponible au sein de l'application officielle.

Le processus de construction est assez linéaire, on commence par la base de chacun des modules et on alterne ensuite entre les murs et le mobilier pour finir par le toit. Pas de plaques de base, le socle de ces modules est intégralement à base de pièces. Pas de stickers dans cette boite, toutes les pièces à motifs que vous voyez sur les photos sont donc tampographiées.

Les intérieurs sont correctement aménagés compte-tenu de l'espace disponible. N'espérez pas jouer dans les différentes constructions du village, même si les toits de chacune des bâtisses sont facilement amovibles. Au mieux, vous pourrez revenir de temps à autre admirer l'intérieur des lieux. Les abords du village sont agrémentés d'un ponton qui appelle inévitablement la présence d'un bateau. Le set LEGO Creator 31132 Viking Ship and the Midgard Serpent, qui fait l'objet d'un clin d'œil dans cette boite via la pierre gravée de runes devant la forge.

Ce set de la gamme Creator commercialisé depuis l'été 2022 et qui est toujours disponible chez LEGO au prix public de 119.99 € (et pour beaucoup moins cher ailleurs), fera l'affaire même si le niveau de détail de ce dernier est un peu en retrait par rapport à celui du nouveau village. La construction secondaire du set Creator, une maison viking, pourra éventuellement elle aussi venir étoffer ce nouveau diorama.

Les différentes sections du set ne peuvent être combinées que d'une seule manière et il n'est pas possible de réorganiser les lieux autrement que dans la configuration prévue. Le set est donc bien modulaire mais pas modulable. Tout le diorama étant au passage entouré d'eau, il ne fonctionne visuellement que lorsque la totalité des modules est présente.

Le diorama est intelligemment pensé pour être exposé et pour offrir quelque chose d'intéressant à admirer quel que soit l'angle d'observation avec ses deux sections latérales orientées à 45°. La contrepartie à ce choix esthétique : l'ensemble occupera de la place sur vos étagères avec des mensurations conséquentes, 46 cm de large sur 26 cm de profondeur et 24 cm de haut au point le plus élevé.

Si vous cherchez les 2103 pièces de ce nouveau set qui semble offrir un rapport contenu/prix plutôt alléchant, elles sont bien là : le produit utilise une flopée de petits éléments qui sont dans les rochers des abords, les murs des constructions et les nombreuses décorations "typiques" de l'époque concernée.

C'est presque comme si le designer avait essayé de gonfler à l'extrême l'inventaire du produit avec des sous-ensembles qui ne méritaient peut-être pas autant de décomposition, mais on ne s'en plaindra pas, c'est toujours plus de plaisir de construction. J'aurais ajouté au moins une petite barque pour mettre à profit le côté maritime ou lacustre du produit, il n' y a rien de fourni pour exploiter les alentours de l'île.

La dotation en minifigs peut paraitre sommaire de prime abord avec seulement quatre personnages mais chacune de ces figurines a bénéficié d'un soin évident avec des tampographies de très haut vol et des accessoires qui n'ont pas été négligés.

Les torses et les jambes sont bardés de jolis motifs, les visages sont très détaillés et les motifs des boucliers fournis, livrés tous deux en deux exemplaires, sont somptueux. Les casques fournis sont équipés de cornes, vous pourrez les retirer facilement si ce détail vous gêne. Ce produit n'a de toute façon pas de valeur "historique" ou éducative, c'est un simple jouet pour adultes qui évoque vaguement la culture viking telle qu'elle est popularisée depuis le XIXème siècle. Si cette explication ne vous suffit pas, vous n'aurez qu'à le considérer comme une attraction du Puy du Fou.

Pour ceux qui auraient une impression de déjà-vu : le torse de la guerrière blonde livrée ici est aussi celui de la combattante blonde du set 31132 Viking Ship and the Midgard Serpent, celui du chef du village équipe également une combattante du même set Creator. Seuls deux des quatre visages livrés sont inédits, celui de l'archer et celui du personnage aux cheveux de couleur orange, les deux autres sont celui du Père Noël et un visage féminin plutôt courant dans la gamme LEGO CITY.

Ne tournons pas autour du pot, ce produit inspiré de la création gagnante d'un concours organisé sur la plateforme LEGO Ideas a été plutôt bien accueilli par les fans et je pense que c'est justifié.

Ce set coche toutes les cases, ou en tout cas toutes mes cases : les attributs principaux de la construction qui a servi de point de départ ont été conservés, le produit offre une expérience d'assemblage très divertissante et il embarque quelques fonctionnalités qui permettent de faire durer un peu le plaisir, le prix public est contenu même si l'inventaire peut paraitre conséquent alors qu'il s'agit surtout de nombreux petits éléments et les minifigs fournies sont très travaillées.

Il n'y a donc aucune excuse valable pour ne pas craquer, même si la thématique abordée ne séduira pas tout le monde.

Note : Le produit présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 15 septembre 2023 prochain à 23h59. Il suffit de poster un commentaire sous l'article pour participer. Votre participation est prise en compte quel que soit votre avis. Évitez les "Je participe" ou les "Je tente ma chance", on se doute bien que c'est le cas.

Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous.

On s'intéresse aujourd'hui rapidement au contenu du set LEGO Marvel Black Panther 76213 King Namor's Throne Room, une petite boite de 355 pièces qui sera disponible sur la boutique officielle en ligne et dans les LEGO Stores dès le 1er octobre 2022 au prix public de 34.99 €. Vous le savez sans doute déjà, ce set est un produit dérivé du film Black Panther : Wakanda Forever qui sortira en salles en novembre.

L'objectif est ici d'assembler le trône de Namor the Sub-Mariner (surnommé le Prince des Mers en France), un personnage inédit dans le Marvel Cinematic Universe et chez LEGO. Cette boite étant un produit dérivé d'un film qui prend quelques libertés avec les comics et le physique des personnages de référence, il ne faut pas s'attendre à retrouver le Namor vu par exemple dans Avengers vs. X-Men.

De ce qu'on en voit dans le trailer du film, le trône du personnage semble plutôt fidèle si on intègre que LEGO verse comme souvent dans un minimalisme assumé qui permet de proposer un set positionné à moins de 40 €. La construction se contente donc de quelques pièces, on y retrouve la mâchoire de requin, habillée ici de quelques autocollants, et le fabricant y a intégré un coffre à pierres précieuses caché dans le socle. Pour éjecter la chose, il faudra insérer par devant les trois disques qui permettront de pousser le coffre vers la sortie située à l'arrière. L'ambiance sous-marine est ici symbolisée par la présence de quelques poissons fixés sur des pièces bleues et autres algues, l'imagination fera le reste.

LEGO ajoute également le Skirmisher , le sous-marin de poche de Shuri, qui se résume à un engin de quelques pièces dont certaines sont décorées de stickers mais qui a au moins le mérite d'offrir suffisamment d'espace pour pouvoir y installer une minifig, même si la position de conduite est loin d'être ergonomique. Deux Stud-Shooters sont placés à l'avant, histoire de pouvoir tirer sur le méchant Atlante Attuma. Pour moins de 40 €, il y a donc ici de quoi s'amuser un peu avec la fonctionnalité intégrée au trône et le mini sous-marin.

Les trois figurines fournies sont globalement réussies. Shuri ne porte pas encore ici la tenue de Black Panther, il faudra attendre encore un peu pour avoir droit à la confirmation que la jeune fille endosse bien comme prévu le costume de T'Challa. La minifig de la jeune fille avec sa chevelure en forme de framboise vaguement inspirée du nouveau look du personnage n'est d'ailleurs pas exclusive à cette boite, elle est aussi livrée dans le set 76211 Shuri's Sunbird (355 pièces - 49.99 €) tout comme celle d'Attuma.

Ce dernier est plutôt réussi, même si les habitués des gammes pour enfants, comme par exemple Legends of Chima, ont déjà vu ce type de figurine très colorée affublée d'accessoires extravagants. C'est plus rare dans la gamme Marvel et il faut ici aussi garder à l'esprit que le personnage est directement basé sur la version du film et non pas sur celle vue dans les comics qui mettent en avant ce méchant comme par exemple dans Fear Itself.

Namor, un mutant qu'on peut considérer comme le premier des X-Men, est ici fidèle à la version aperçue dans le trailer du film. La figurine est dotée d'une jolie tampographie jusque sur la tranche des jambes et elle est équipée d'une chevelure intégrant les oreilles pointues du personnages. Il manque la moustache de Tenoch Huerta et quelques détails dorés sur les jambes et les bras du personnage pour vraiment coller à la tenue vue à l'écran mais il faudra se contenter de cette interprétation avec son slip de bain détaillé et ses ailes sur les jambes.

Bref, ce petit produit dérivé ne changera sans doute pas la perception globale que de nombreux fans ont de la gamme LEGO Marvel : c'est un set que beaucoup achèteront pour les minifigs qu'il contient, le reste n'étant qu'un prétexte pour justifier l'appellation de jouet de construction. Le trône pourra être exposé sur le coin d'une étagère, le mini sous-marin finira probablement au fond du coffre à jouets.

Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 23 septembre 2022 prochain à 23h59. Il suffit de poster un commentaire sous l'article pour participer.

Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous.

On jette aujourd'hui un rapide coup d'œil au set LEGO Monkie Kid 80012 Monkey King Warrior Mech, une grosse boite de 1629 pièces vendue 129.99 € qui propose d'assembler un robot d'une quarantaine de centimètres de haut accompagné de quelques éléments complémentaires qui laissent présager de nombreuses possibilités ludiques.

Lors de l'annonce officielle de la gamme Monkie Kid, LEGO nous avait vendu ce set comme étant celui qui intègre le plus de pièces en Metallic Gold à ce jour, il nous reste à vérifier si cette affirmation ne cache pas quelques lacunes qui pourraient venir ternir le tableau.

Avant de s'attaquer à la construction du gros robot à tête de singe, on assemble les différents éléments additionnels fournis. Rien de très compliqué ici, le bout de ruelle, la colline avec le support du bâton, le nuage flottant du Monkey King et le petit robot des méchants clones sont vite assemblés avec au passage la mise en place de la moitié de la grosse planche de stickers fournie.

Ceux qui ont apprécié les sets 70620 Ninjago City et 70657 Ninjago City Docks inspirés du film The LEGO Ninjago Movie apprécieront de retrouver ici un ensemble comprenant une échoppe et une habitation un peu dans le même esprit, avec des enseignes, une borne d'arcade, des néons, et une multitude de détails qui favorisent l'immersion dans l'ambiance du set. Le bâtiment est aussi un point de repère important pour donner de la prestance au mech.

Le contexte étant posé, on passe ensuite à l'assemblage du gros robot. Dès le montage du tronc central qui sert aussi de poste de pilotage, on comprend que la mobilité de ce mech sera limitée. Les épaules sont constituées de pièces mobiles mais la taille et les hanches du robot sont fixes. En connectant la partie haute des jambes, on devine pourtant qu'il doit être possible de déplacer légèrement chaque jambe vers l'arrière ou vers l'avant.

En assemblant le reste des deux jambes du robot, on commence à imaginer l'improbable : des genoux ! En effet, il y a bien un Ball Joint au niveau du genou, mais on déchante rapidement en s'apercevant que le mollet vient se fixer à l'arrière de la cuisse via deux petites rotules supplémentaires, empêchant ainsi toute flexion de la jambe. Encore raté, ce n'est pas cette fois que nous aurons un mech au jambes vraiment articulées. La bonne nouvelle : le mech est vraiment très stable sur ses pieds, tous deux équipés d'un pneu central qui permet d'éviter les glissades intempestives même sur les surfaces les plus lisses.

En matière d'articulations, c'est un peu mieux au niveau des bras avec une structure en trois parties qui autorise quelques mouvements, même si on se rend rapidement compte que le mech n'est en fait pensé que pour tenir son bâton géant avec une amplitude de mouvement très limitée. À noter que le bâton peut être "transformé" en une version plus courte qui tient dans une seule main. Dans les deux situations, le bâton est fixé au creux de la main (ou des deux mains) via deux rotules.

Rapidement, il devient compliqué de manipuler la construction en cours à cause des sous-assemblages décoratifs qui ne tiennent que sur un clip ou deux, comme les pièces dorées qui cachent les articulations des épaules ou les doigts qui se décrochent régulièrement. C'est dommage pour un jouet destiné aux enfants et ça ne s'arrange pas par la suite.

Le mech "nu" manque clairement de finition et ce n'est pas la petite centaine de pièces dorées qui sauve les meubles. Le dos du robot n'a manifestement pas bénéficié de la même attention de la part des designers que la face avant mais ce n'est pas si grave puisqu'il faut y fixer un gros morceau de tissu rouge qui se charge de recouvrir le tout. Même si l'effet de drapé n'est pas inintéressant, la feutrine utilisée est à mon avis trop fine pour laisser espérer une durée de vie raisonnable. Au final, il me semble qu'on est plus dans une solution "cache-misère" à base de produit consommable que dans le choix purement créatif.

Pour finir, il faut ajouter sept éléments décoratifs en plastique souple qui en principe doivent donner à ce mech son apparence finale. Les quatre drapeaux qui prennent place derrière la tête ne tiennent que sur un clip et ont eux aussi une fâcheuse tendance à se décrocher à la moindre manipulation. Les trois inserts qui viennent se fixer autour de la taille du mech contribuent en revanche vraiment à donner une belle cohérence visuelle à la construction.

L'expérience de construction n'est pas déplaisante, surtout au début de la phase d'assemblage, même si on n'échappe pas aux sous-assemblages à construire en deux exemplaires lorsqu'il s'agit de s'occuper des membres du robot. Les plus jeunes s'en sortiront sans problème, le plus difficile restera de manipuler le robot en voulant jouer avec.

Difficile de juger objectivement l'aspect esthétique du mech, les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais je pense qu'il faut vraiment attendre d'avoir fini d'assembler la chose pour se faire un avis précis. En ce qui me concerne, je trouve que c'est visuellement un peu trop bariolé pour me convaincre. Les articulations grises sont trop visibles et le mélange rouge, jaune, Pearl Gold et Metallic Gold est un peu trop brouillon à mon goût.

L'ajout des trois éléments en plastique souple autour de la taille du mech achève de priver la construction du peu de mobilité dont elle disposait jusqu'ici : ils entravent un peu les quelques mouvements possibles du robot et seront vite pliés et marqués. Ce détail achève de me convaincre que ce produit n'est pas un jouet pour enfants âgés d'au moins 10 ans. Il s'agit juste d'une démonstration du savoir-faire des designers LEGO qui se transforme au passage en un pur produit d'exposition beaucoup trop statique et trop fragile pour vraiment s'amuser avec.

Il y a aussi quelques minifigs dans cette boite : deux clones aux torses identiques mais dont l'un est affublé de bras et de cornes roses, le roi-singe, livré ici dans une version différente de celle présente dans l'un des sachets de la 19ème série de minifigs à collectionner (réf. 71025), avec son bâton équipé des nouveaux manches aussi disponibles en gris sur les genoux du mech, les jeunes Jia (le garçon) et An (la fille) et l'inévitable Monkie Kid en personne avec ses écouteurs autour du cou, son smartphone et ses jambes hyper-détaillées à la finition un peu moins réussie que sur les visuels officiels.

Pour ceux qui se poseraient la question, la chemise hawaiienne de Jia n'est pas inédite, elle était déjà présente depuis 2010 dans plusieurs sets de la gamme LEGO Education et plus récemment dans les sets LEGO CITY 60202 People Pack : Outdoor Adventures et Juniors 10764 Central Airport. Le torse d'An est lui aussi une pièce très courante vue notamment dans les sets 10247 Ferris Wheel, 60200 Capital City ou encore 10261 Roller Coaster.

Au final, ce set avait tout pour plaire sur le papier avec un contenu équilibré entre le mech géant,  le héros principal de la gamme et de la série animée qui va avec, le Roi-Singe en personne, une paire de méchants, deux civils et les petits modules additionnels.

Malheureusement, le robot est esthétiquement très correct mais il n'est pas ce qu'il prétend être en matière de jouabilité et il faudra se contenter de l'exposer sur le coin d'une étagère après avoir passé trop de temps à remettre en place ce tout qui se décroche en jouant avec. À 130 € la boite, c'est à mon avis trop cher payé pour une construction aussi fragile, à la finition un peu bâclée par endroits et à la mobilité franchement limitée.

Note : Le produit présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 7 juin 2020 prochain à 23h59.

Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.

Histoire de bien commencer la semaine, voici quelques données statistiques qui permettent de mettre des chiffres sur les " impressions" que nous avons tous lorsqu'il s'agit de notre marque préférée...

Le marché du jouet de construction (toutes marques confondues) a progressé de 24.70 % entre janvier 2014 et mai 2014 (comparé à la même période en 2013) avec un chiffre d'affaires réalisé en France par les plus grandes enseignes(*) dépassant les 58.000.000 d'€. Le volume de ventes (unités) s'établit à plus de 3.200.000 unités sur la même période pour une évolution de 28%.

Sur la même période, le marché des figurines d'action accuse une baisse de 13.60% avec un CA d'environ 21 millions d'€. Le volume de ventes s'établit à plus de 1.750.000 unités sur la même période pour une baisse de 15.40%.

Le baromètre NPD ne donne pas le détail des marques ou des produits concernés, mais on pense évidemment à l'effet "The LEGO Movie" qui aura sans doute boosté les ventes globales de la marque LEGO pour expliquer en partie cette progression significative des ventes dans le secteur du jouet de construction en début d'année.

LEGO était en 2013 le troisième investisseur en terme de publicité (TV, radio, presse, cinéma et internet) derrière Hasbro et Mattel. En 2013 également, la licence Star Wars occupait la troisième place du podium des licences les plus vendues derrière Cars et Hello Kitty.

(*)Les données proviennent du nouveau baromètre NPD Electronic Point of Sales qui inclut les sorties à la caisse des distributeurs suivants en France métropolitaine (couverture estimée à 70 % : 1.607 points de vente) : 
Carrefour, Auchan, Leclerc, Géant, Cora, Toys « R » Us, La Grande Récré, King Jouet, Maxitoys, Picwic et Amazon.

En avant pour l'édition printanière 2024 des French Days, une opération commerciale qui démarre aujourd'hui, qui se terminera le 7 mai prochain et qui tente désespérément, sans grand succès, de vaguement ressembler à un Black Friday à la française...

Ne vous attendez pas à des offres de folie, certaines des enseignes n'ont pas oublié de gonfler leurs prix pour mieux faire semblant de les baisser pendant quelques jours, et à la fin c'est souvent Amazon qui gagne lorsqu'il s'agit de produits LEGO.

Comme pour les éditions précédentes, si vous trouvez malgré tout quelques offres dédiées aux produits LEGO chez vos marchands préférés, n'hésitez pas à les relayer dans les commentaires, que tout le monde en profite.

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